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 Donna Schiavone - La mort aux trousses.
Donna Schiavone
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Dim 22 Mar - 21:45

schiavone donna
Et soudain, tout perdre.
nom Schiavone, son nom de jeune fille. Avant le drame elle portait le nom de son mari Ruggiero.prénom(s) Donna. surnom(s) Donna est assez court, pas besoin de surnom.date et lieu de naissance Le 1er mai 1988 à Naples, Italie.âge 32 ans. nationalité(s) et origine(s) Nationalité anglaise, d'origine italienne pure souche. matière enseignée Psychologue de l'institut elle reçoit en entretiens les élèves mais aussi les membres du corps enseignants qui le souhaitent. raison(s) du postulat à l'Institut Une aubaine, un échappatoire après qu'on lui ai proposé l'offre.orientation sexuelle Hétérosexuelle. statut marital Veuve, elle a perdu son fils et son mari dans un guet-apens. signes particuliers, tatouages, cicatrices Un léger accent italien quand elle parle. Un tatouage dans le creux de ses reins, le prénom de son fils, Nino. acceptez-vous que La Donneuse s'immisce dans vos jeux ? Oui. avatar Bianca Balti.
Biographie & psychologie
La solitude. Le cœur brisé. La descente aux enfers. Quand on vous arrache la chaire de votre chaire, vous n'êtes plus vous même. Mais l'ombre de vous même. Tenter de se laisser mourir, essayer de se faire attraper par ceux qui vous poursuivent mais rien y fait. L'humain est fait ainsi, survivre, quoiqu'il en coûte.

Il est minuit. Je viens de faire un rêve affreux. Je suis en sueur, je suffoque. Et finalement ma respiration se calme, s'apaise. Je suis sur le canapé, je me suis endormie en les attendant. Je finis ce verre d'eau posé sur la table basse avant de réaliser l'heure qu'il est et le calme qui règne au sein de notre grande maison. Notre veut dire celle de mon mari, mon fils et moi-même. Je manque d'air, je ressens quelque chose, ce genre d'impression qui vous colle une boule au ventre. Je me mets à la recherche de mon téléphone. Plusieurs appels manqués, beaucoup trop d'appels manqués. Mais on frappe à la porte beaucoup trop fort pour que je puisse m'y intéresser. Je vais ouvrir, le stress envahit toutes les parcelles de mon corps. Quand j'ouvre la porte je comprends, tout de suite. Lisandro est en sang, ce n'est pas le sien. Il tient fermement un ours en peluche, pas n'importe lequel, celui de Nino. Ma tête se met à faire des mouvements de gauche à droite pour dire non alors que mes cordes vocales sont littéralement bloquées. Les larmes coulent, moi aussi je veux mourir. Madame il faut partir. Tout de suite ! Je refuse d'un signe de tête. Hors de question. Donna je vous ordonne de faire vos affaires et de me suivre. Je lui lance un regard assassin qu'il ne doit pas déchiffrer tant mes yeux sont baignés de larmes. Il me prend par le bras et me force à monter à l'étage. Il me traîne, je ne hurle pas, pas encore. Il balance des sacs sur mon lit, les rempli de mes affaires et c'est à ce moment précis que je vrille. Je hurle, je balance tout ce qui me passe sous la main jusqu'à en arracher un morceau de papier peint. Je m'écroule finalement au sol. Lisandro me porte pour me mettre debout, nous n'avons plus le temps. Mais je n'en ai rien à foutre. Seulement je suis vidée alors je le suis. Nous faisons une halte dans la chambre de Nino, je prends quelques affaires à lui, son odeur et Lisandro se charge de prendre l'argent dans le coffre derrière son cadre avec l'éléphant dessus. En le voyant faire je me dis que toute ma putain de vie je détesterai mon mari de nous avoir mis dans une telle merde, d'avoir dissimulé cet argent sale dans sa chambre et de l'avoir...tué. Le mot est trop dur, l'imaginer encore plus, je perds connaissance.

Naples et ces beaux paysages. Mais Naples et ses trafics, sa mafia et la famille. Cette famille mouillée jusqu’au cou dans le trafic de drogue, de prostituées et tout ce qui peut être monnayé. Voilà six mois qu’on m’a enlevé mon fils et ce mari qu’on m’avait fortement invitée à épouser. Une histoire qui avait bien commencé, entraînée par nos deux familles à se marier alors que je ne l’aimais plus. Mais j’ai tenu bon, Lazaro était un homme attentionné et doux. Mon père attendait beaucoup de moi alors je me suis faite à l’idée. J’ai poursuivis mes études de psychologie, ai été diplômée à 25 ans et je suis tombée enceinte quelques mois plus tard. Alors que Nino n’avait que quatre mois, j’ai été ébauchée dans une clinique réputée non loin de notre domicile pendant six mois avant que nous quittions l’Italie pour nous installer en Angleterre. Notre départ portait l’excuse de mon mari : il souhaitait se ranger en finir avec toutes ses magouilles et prendre de la distance avec nos familles respectives. En réalité, mon père et lui avaient décidé d’un commun accord d’agrandir le territoire de la mafia italienne dans les quartiers de Birmingham. J’ai découvert la vérité il y a un an de ça. J’ai d’abord été folle de rage et puis mon père m’a raisonnée, comme il sait si bien le faire.

Le résultat de toute cette histoire c’est que je me retrouve veuve, mon enfant décédé, cet argent sale pour réconfort et la mafia à mes trousses. J’en suis réduite à me cacher dans une maison dans la campagne italienne, avec pour seule compagnie Lisandro, notre homme de main, les servantes et mes bouteilles de whisky irlandaises. Quelle vie de merde, triste et amer.

Il est neuf heures du matin quand Lucia m’apporte le courrier sur la terrasse. Une lettre venant d’un institut situé sur une île m’est adressée. Je ne comprends pas tout de suite le sens des mots ni pourquoi on me propose un poste de psychologue. Je n’ai pas exercé depuis.. depuis six mois, depuis ce fameux soir. Celui qui a tout fait chaviré, celui qui m’a retiré mon goût de vivre. Et puis je comprends, je compose le numéro de mon père. Papa, pourquoi as tu postulé à ma place ? Je t’avais dit que je voulais rester ici jusqu’à nouvel ordre ! Je suis déçue qu’il régisse une nouvelle fois ma vie. A 32 ans on peut se gérer soi même, merde. De cette question il s’en suit un long monologue du parrain de la mafia, mon paternel. Écoute ma Donna, tu n’as plus le choix. Pour toi, ta santé et ton mental, tu dois exercer de nouveau. Te plonger dans un autre univers, revivre. Et puis tu sais.. je n’ai pas que des bonnes nouvelles ici. Lazaro a du foutre un sacré merdier avant qu’ils ne le tuent. Ils veulent ta peau pour que meme dans l’au-delà il souffre encore. Jamais je ne les laisserai faire, tu le sais mais j’ai besoin de te savoir en sécurité. Alors s’il te plaît écoute ton vieux père et vas y. Je lui promets d’y réfléchir et nous raccrochons. Et je pleure. Comme à chaque fois. Et j’attaque mon premier verre. Le premier d’une longue lignée.

Me voilà finalement à l’aéroport pour rejoindre cette île. Tous mes bagages sont à mes pieds, Lisandro va s’en charger, pour l’instant il m’achète mon cappuccino et mes cigarettes. Je suis un peu stressée, je n’ai pas eu l’occasion de boire un verre alors je ne fais que triturer ce morceau de ruban qui lui appartenait. Mon petit cœur.. c’est pour toi que je fais tout ça. Pour que tu sois fière de ta maman.. je me murmure ces paroles à moi même comme s’il pouvait les entendre. Lisandro est de retour, se charge de mes valises énormes, nous allons les enregistrer. Je vais ensuite fumer une dernière cigarette, remercie cet homme qui nous est fidèle à ma famille et moi depuis des années et pars vers le hall d’attente sans me retourner. Il faut survivre Donna.


PSYCHOLOGIE Donna est une femme dévastée qui noie ses pensées sombres dans l’alcool. Avant le drame elle était tout ce qu’on pouvait espérer chez une femme : aimante, attachante, joyeuse, naturelle et généreuse. Mais Donna a beaucoup changé. Elle s’est forgée une carapace aussi solide qu’un roque, ne se donne plus le droit de se laisser avoir. Trahie par son propre mari sur ses affaires qu’il menait derrière son dos elle n’est pas prête à refaire confiance. Elle est magnifique, son physique en fait chavirer plus d’un mais elle n’a aucune envie de céder à qui que ce soit. Elle n’aime plus son mari depuis bien longtemps, même avant sa mort mais elle doute de pouvoir un jour trouver quelqu’un qui pourra lui redonner le sourire.
Professionnellement parlant, Donna est extraordinaire. Elle ne laisse rien paraître de son passé, elle sourit, échange avec les autres et dissimule à la perfection tous ces démons. Elle enfile seulement un masque transparent lorsqu’elle exerce.
derrière l'écran
prénom ou pseudo Reliques. âge 28 ans. scénario ou inventé Inventé. comment as-tu connu NeverEver ? Suis je vraiment obligée de répondre (a). quelles sont tes attentes ici ? Écrire de jolis textes avec mes partenaires. souhaites-tu un RP' de bienvenue ? Pas forcément. une suggestion ? Toujours aucune. un mot pour la fin ? Vive le confinement et les DC !
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Helen Jones
Helen Jones

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Lun 23 Mar - 1:14

Oh là, làààà ! Bienvenue, toi ! Hâte de te voir en jeu, je t'aime déjà divine créature :yesyes:
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La Donneuse
La Donneuse

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Lun 23 Mar - 16:36

Tu es validé !
Femme fatale ou veuve noire ?

Félicitations @Donna Schiavone, tu es officiellement membre de NeverEver !

Tu es à présent membre du groupe des professeurs au sein de l'Institut. N'oublie pas de poster ta fiche de liens et de jeux si cela n'est pas encore fait. Tu as donc accepté que La Donneuse influence de manière aléatoire tes jeux. N'hésite pas à contacter La Donneuse afin d'en savoir davantage. Nous espérons que tu te plairas ici !
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