Et voila, bientôt une année scolaire allait reprendre et de nouveau visage allait apparaître dans sa petite routine. Bien qu'en soit il ne s'agissait aucunement d'une routine, Isaac prenait plaisir a faire sa petite vie ici. Les jeunes adultes qui peuplaient les lieux faisaient désormais parti intégrante de sa vie. Qui aurait cru qu'un jour il serait en poste dans ce genre de lieu ? Insolite pour un majordome !
La semaine venait de commencer avec un lundi plutôt agréable et cela le mettait de bonne humeur, enfin Isaac était souriant parce que pour découvrir son humeur il fallait l’avoir côtoyer pendant un certains temps pour espérer lire sur son visage. Enfin il s'agissait la d'un autre sujet, l'homme avait fait un petit tour dans les jardins puis dans l'institut ce qui lui avait prit la mâtiné et la c’était la pause du déjeuner qui venait de passer. Toujours prit dans ses habitudes il se dirigea vers le réfectoire et prépara une tasse de thé vert, le contenue changeait de temps a autres mais aujourd’hui il s'agissait de thé vert. En bon amateur de bonne chose il n'y ajouta pas de sucre mais en déposant la tasse sur sa coupelle qui se trouvait sur un plateau il prit soin d'ajouter au cuillère et quelques morceaux de sucre ainsi que quelques petits biscuits sec. Une fois fait il s'empara du plateau pour le porter du plat de la main et se diriger vers l'administration. Ce thé n’était bien sur pas pour lui mais s'adressait a une personne qui en aurait peut être bien besoin. Une fois le trajet effectué le majordome s’arrêta devant une porte ou il toqua délicatement a l'aide de sa main libre enveloppé dans ses gants blancs habituel.
Madamoiselle Jones ?
Quand il eu entendu l'accord de la directrice il entra dans le bureau et s'approcha d'elle toujours plateau en main.
Je vous apporte du thé, c'est très bon pour le stress. J'imagine qu'en cette période il pourrais vous faire du bien.
Alors qu'il parlait il déposait la tasse sur un coin de bureau la ou elle ne pourrait être renversé.
Non sucré évidement pour maximiser les effets.
Rien que le ton de sa voix laissait paraître que le majordome savait de quoi il parlait et qu'il ne faisait ca que dans l’intérêt de sa supérieur et par plaisir.
Qui sert avec loyauté ne saurait avoir assez de récompense.
Helen Jones
Mar 17 Déc - 1:20
Une petite tasse de thé ?
“A la fin, nous nous souviendrons non pas des mots de nos ennemis, mais des silences de nos amis.”
I
l devait être quatorze heure lorsque tu posais enfin ta plume à plat, sur le côté de ton bureau en bois massif. Tu lâchais un soupir, dors et déjà éreintée, puis t’enfonçais au fond de ton fauteuil acajou. Tes yeux se fermaient, alors que tes mains venaient doucement presser tes tempes. Du repos, c'est probablement de cela dont tu aurais besoin, présentement. Mais, la rentrée approchait, et il était hors de question qu'une seule chose ne soit pas prête pour l'arrivée de tes futurs étudiants et employés. Bien entendu, tu n'étais pas seule à gérer tout cela, c'eut été impossible. Tu pouvais consciemment te reposer sur tes plus proches congénères, collègues ou vieilles connaissances de l'île. Chacun contribuait au bon fonctionnement de cette petite fourmilière, au delà des revenus confortables que tu leur offrais. Tu croulais sous les dossiers, les demandes d'entretien et les listes d'options. Bien que le temps fut relativement agréable en cette journée de décembre, la luminosité te sembla insuffisante, et tu te levais donc, te retournant vers l'immense fenêtre aux poignées nacrées et boisées qui te faisait auparavant dos. Jetant un bref coup d’œil au parc, ton bureau dans l'administration te permettant de visualiser le portail de l'enceinte, tu fus interrompu dans ta besogne par quelques coups portés à l'entrée. Instinctivement, tu te retournais. Madamoiselle Jones ?
R
econnaissant immédiatement le son de la voix du majordome de l'Institut, tu lâchas volontiers un discret Entrez Edwards. auquel répondit un léger et presque inaudible grincement du à la charpente demeurant ancienne. L'homme, légèrement grisonnant, entra à pas feutrés, presque furtifs. Bienveillant, il s'approcha de ton bureau, un petit plateau issu de la cafétéria à la main. Toujours élégamment vêtu, ses doigts agiles posèrent ce dernier sur le coin de ton bureau, poliment. Je vous apporte du thé, c'est très bon pour le stress. J'imagine qu'en cette période il pourrait vous faire du bien. Comme s'il avait pu lire dans tes pensées, une tasse fumante de thé, probablement du vert, trônait à présent devant toi. Touchée par l'attention et les quelques mots de ton collègue, tes lèvres s’arquèrent en un sourire reconnaissant. Merci, Edwards, il est vrai que cette période de l'année est, comme vous le savez, forte en émotion..! Retournant ensuite à ta recherche de lumière ; faisait brièvement volte-face à ton interlocuteur, tu ouvrais le pan de rideau qui demeurait fermé, recouvrant une partie de la fenêtre. Ceci fait, tu te réinstallais derrière ton bureau, en prenant garde à ne pas froisser la jupe de ton tailleur. Toujours souriante, tu levais la main face à Isaac, lui indiquant l'un des fauteuil face à lui, l'incitant à sy prendre place. Asseyez-vous, je vous en prie. Bien qu'il fut probablement le genre de personne à préférer être actif et constamment s'occuper du bien d'autrui au sein de l'établissement, tu ne doutais pas qu'un brin de repos et de détente lui ferait le plus grand bien. Isaac était là depuis de nombreuses années, et toujours présent en cas de besoin. Il avait su se montrer fidèle envers l'Institut, mais également envers la famille Jones. En outre, il faisait de lui un élément non négligeable de ton entourage. Malgré ta fatigue, qui s’apparentait d'ailleurs davantage à un surplus de lectures répétitives et sans intérêts, tu appréciais passer du temps avec tes employés, et ainsi ne pas être étrangère aux événements qui étaient susceptibles d'avoir lieu en entres ces murs.
Oh que oui il le savait, la période de la rentrée était une période assez mouvementé pour tout le monde et c’était d'autant plus vrai pour les membres du conseil. Il était donc de son devoirs de leurs facilité la vie, malgré le fait qu'il occupe un poste de surveillant durant son temps libre il appréciait être aux soins de certaines personnes. La famille Jones par exemple, ils l'avaient toujours bien traité et respecté durant ses fonctions. C'est pour cela qu'il prenait du temps afin de facilité la vie de la jeune directrice,après tout il était aussi un majordome dans l’âme. La jeune femme l'invita a s’asseoir en face d'elle ce qu'il accepta sans discuté. Chaque discussion avec celle ci était généralement intéressante et appréciable bien qu'il préférait rester debout et en retrait a observer.
Je ne voudrais pas vous déranger mademoiselle.
Bien qu'elle paraissait ouverte et souriante il ne la connaissait que trop bien pour lire au travers d'elle. Les années n'y étaient pas indifférente, quand on travail aussi longtemps pour la même personne on fini par la connaitre.
Vous devriez vous reposez, au moins souffler. Les jardins sont agréables aujourd'hui.Je préfères de loin vous apporter une tisane le soir plutôt que des aspirines.
Sa dernière phrase était évidement tout aussi honnête que les précédents mais une pointe d'amusement pouvait se faire entendre. Il c’était occupé de personnes malades au cours de son dernier emploi et même s'il le faisait quand il le fallait s'occuper de malade n’était pas du tout son passe temps favori.
Il serait embêtant que l’engrenage principale de l'institut ne soit pas en état de fonctionnement pour le début de l'année.
Helen Jones
Mer 18 Déc - 0:16
Une petite tasse de thé ?
“A la fin, nous nous souviendrons non pas des mots de nos ennemis, mais des silences de nos amis.”
A
lors que l'homme s'exécutait, s'asseyant silencieusement en face de toi, tu jetais un bref coup d’œil à ton bureau, que tu entreprenais de débarrasser un peu, souhaitant le rendre davantage présentable. Les inscriptions sur un tas, les dossiers d'employés sur un autre.. Même surmenée et débordée, il n'était pas question pour toi de ne pas être à la hauteur, cette année encore. Un sourire affectueux se dessina sur tes lèvres, tandis que ton regard croisait celui d'Isaac. Vous devriez vous reposer, au moins souffler. Les jardins sont agréables aujourd'hui. Je préfère de loin vous apporter une tisane le soir plutôt que des aspirines. Un éclat cristallin de rire se fit entendre dans la pièce, alors que tu te détendais immédiatement. Amusé, lui aussi, il attendit quelques secondes avant de poursuivre.
T
u étais fatiguée, certes, mais loin d'être inapte ! Inutile de rappeler à ton collègue le nom des créateurs de cet établissement pour lui faire savoir cela. Tes bras se croisèrent sur ton bureau, en face de ton buste. Sourire aux lèvres, tu poursuivais cette petite entrevue en évoquant la rentrée prochaine ; Alors Edwards, comment se passe les derniers préparatifs ? Même si tu ne faisais allusion à aucun "préparatif" en particulier, tu étais principalement préoccupée par l'arrivée des professeurs ainsi que les derniers aménagements des chambres. Au delà des bons résultats exigés par l'établissement, l'Institut avait bien évidemment toujours veiller au bien-être et au confort de ses résidents. Légèrement inquiète, le ton de ta voix te trahissait très subtilement. Les fêtes de fin d'année approchent et j'ai peur que le temps nous manque.. Demeurant relativement souriante malgré tout, ne doutant pas de la bonne foi de chacun au sein de l'île, tu te penchais ensuite afin de saisir la soucoupe d'une main, puis la petite tasse à thé en porcelaine irisée de ton autre main, te servant de ton index et de ton pouce. Une odorante fumée s'en dégageait, mélange de thé vert et probablement d'un brin de citronnelle ou de jasmin. Tu attrapais ensuite la petite cuillère, restée seule sur le plateau, sucrant ta boisson chaude avec deux morceaux. Tu commençais à remuer doucement ton thé, ramenant ton regard à ton interlocuteur.
Bien qu'il s'attendait a une réponse négative sa supérieur éclata de rire, non pas pour se moquer mais bien parce qu'elle était amusé de la situation. Bien évidement qu'elle pouvait encore travailler et qu'elle le ferrais sans hésitation pour le bien être de l'institut, comme elle l'avait toujours fait d'ailleurs. Mais cela n’empêchait pas que lui, même s'il ne l’était plus officielle restait le majordome des lieux et que de cette manière il devait veiller sur elle en toute circonstances. Au moins il aurait essayer de lui faire lever le pied mais il n'avait pas eu grand espoir de réussite. Cependant comme d'habitude il la surveillerait, comme le gardien surveille une oeuvre d'art dans un musée ou une pièce unique, parce que pour être unique elle l’était.
Il eu un petit rire amusé en entendant sa prochaine question,cela faisait des années qu'il occupait ce poste et jamais grand dieu jamais il n'avait failli a sa tache alors ce n’était pas cette année qu'il faillirait.
Les chambres des élèves sont prêtes, quelques dernier lustrage de dernière minutes et tous sera parfait. Celles du personnel sont sur le point d’être terminé, comme vous l'avez surement déjà vu le hall d’accueil est lui aussi impeccable ainsi que les jardins. Vous n'avez pas a vous inquiétez, tant que je serais la cette épine n'effleurera pas votre peau mademoiselle.
A vrai dire tout ce qui pouvait être fait a l'avance était déjà terminé depuis un moment, il ne restait a sa charge que l'entretien journalier et quelques taches ci et la mais rien d'alarmant alors c'est sereinement qu'il attendait la rentrée, c’était peut être le seul d'ailleurs. C'est logiquement qu'elle lui avoua sa principale crainte, qui en soit n’était qu'un stress inutile mais tout de même présent quoi qu'il arrive, il était naturel pour tout le monde.
Je vous le répète comme chaque années mais faites nous confiance mademoiselle. Tout sera prêt a temps et comme d'habitude tout sera parfait.
Une chose qu'il ne pouvait garantir a cent pour cent mais une chose était sur c'est qu'il se donnerait corps et âme pour respecter ses engagements. Isaac était un homme qui avait toujours prit très a cœur ses engagement et très a cheval sur ses principes. C'est donc naturellement qu'il s’acquitterait des taches qui étaient a sa charge. Chose plus dans l’ère du temps il observait la réaction de la jeune femme quand au nouveau mélange de thé qu'il avait fait venir d'assez loin. Entre autre pour les différentes vertus qu'il offrait. En effet ce tout nouveau thé offrait un mélange de thé vert de jasmin, de citron ainsi que de bergamote. Tout cela afin de lutter contre la fatigue et le stresse qui était sensiblement les deux ennemis du moment de la directrice.
Helen Jones
Dim 22 Déc - 12:07
Une petite tasse de thé ?
“A la fin, nous nous souviendrons non pas des mots de nos ennemis, mais des silences de nos amis.”
C
ommençant à déguster le contenu de ta tasse, tu écoutais d'une oreille attentive les mots d'Isaac. Il semblait évident que la situation était sous contrôle et bel et bien en bonne voie. Tout était apparemment en règle et, effectivement, les jardins, le hall étaient impeccables. Peut-être avais-tu tendance à trop t'en faire, ces derniers temps, ton collègue disait vrai. Cependant, il te semblait tout aussi normal et bienséant que de t'inquiéter un temps soit peu au sujet de la rentrée qui arrivait à grands pas. Avalant une gorgée du breuvage, un soupir de contentement s'échappa de tes lèvres. Le mélange était délicieux, à la fois doux, vivifiant et apaisant, bien plus que ne pourrait l'être un café, à tes yeux. Ta main s'abaissait, déposant la tasse blanchâtre sur la soucoupe prévue à cet effet. Un sourire emplie de gratitude se dessina sur ton visage. Edwards, ce thé est une merveille. D'où vient-il? demandais-tu, curieuse et reconnaissante de ces attentions omniprésentes. Le thé était vraisemblablement ta boisson de prédilection, avec le vin blanc, qui semblait tout de même moins adapté à l'instant, même si tout aussi qualitatif pour tes papilles. Tu appréciais découvrir de nouvelles saveurs, apprécier le fumet de divers ingrédients savamment couplés. De plus, il était vrai qu'une boisson chaude adoucissait tous les mœurs en ces temps sujets à stress.
Alors qu'il lui narrait ses avancement la jeune femme commença a boire son thé et fut agréablement convaincu par son gout et son raffinement. Aux yeux de l'homme le thé était une valeur des plus sur, même s'il avait des gênes français il n'en restait pas moins un londonien et personne ne pourrais le lui enlevé ! C'est en partit pour cela qu'il possédait une grande quantité de thé différent, un pour chaque situation, le stresse, la fatigue, la digestion... Tout ce qui se soignait par le thé il pouvait le soigner.
Si vous êtes déjà aller a Londres dans le quartier de Westminster il y a une petite boutique dans le fond d'une allée. Elle est tenue par une femme assez âgé qui confectionne elle même des mélanges de thé, cette femme est incroyable c'est de la bas que proviennent la plupart des thés que je possède. Je l'ai fait venir par le dernier avion de passage et j'attendais le bon moment pour vous en faire un.
C'est sur un agréable sourire qu'il termina sa phrase. Pour un simple amateur un thé reste un thé mais quand on se penche sur la question chaque plante a chaque dosage a un gout différent sans parle de la température de l'eau. Une erreur et c'est le drame assuré ! La préparation du thé était donc l'une des choses sur lesquelles Isaac était des plus a cheval. C'est alors que le majordome sortit un petit carnet de cuir d'une poche intérieur de sa veste ainsi qu'un petit crayon. De ses mains entouré de gant blanc il commença a écrire sur celui ci d'une écriture digne d'un cours de calligraphie. On pouvait aisément y lire :
Mer du sud, 87°c, 2 minutes 20 secondes. Approuvé
Ce n’était la qu'une ligne parmi tant d'autres, il s'agissait enfaîte du registre des tests de l'homme pour chaque thé qu'il faisait. Selon les retours il réitéré ou non l’expérience et cette fois ci il n'y avait absolument rien a redire !
Helen Jones
Jeu 26 Déc - 1:00
Une petite tasse de thé ?
“A la fin, nous nous souviendrons non pas des mots de nos ennemis, mais des silences de nos amis.”
S
ubmergée par une sensation de douceur des plus délectable, tu te détendais peu à peu, grâce à ta boisson nouvellement découverte, ainsi qu'à la discussion qui t'était offerte. Isaac, à la fois heureux et légèrement fier de sa trouvaille, s'exprima quant à ta réaction, évoquant la boutique d'où provenait le breuvage, t'expliquant qu'il s'agissait là d'un mélange recommandé pour lutter contre le stress ou l'anxiété, réalisé scrupuleusement par une dame, apparemment âgée et, douée pour ce qu'elle fait. La fin de sa phrase te fit sourire, touchée par la délicate attention de ton collègue. Tu hochais la tête, appréciant l’égare avec lequel il te traitait toujours. Il était vrai que ce thé était délicieux, et, surtout qu'il tombait au bon moment. Tu en avalais une nouvelle gorgée, reposant ensuite ta tasse sur sa soucoupe avant de relever les yeux vers Isaac. Tu remarquas qu'il avait pris un petit carnet en cuir sombre, vieilli par son utilisation régulière, probablement. Tu reconnaissais immédiatement le carnet où l'homme avait pour habitude de noter chacune des appréciations dont je pouvais lui faire part, entre autre. Son soucis du détail et de la qualité avait toujours fait mouche, et tu chérissais ce genre d'attentions plus encore que toutes autres. Il s'agissait là de tendresse, pratiquement. Tu plaçais ta main droite, paume face à toi, au niveau de tes lèvres, toussotant presque silencieusement, avant de te penchée sur ton bureau, attrapant l'un des dossiers qui s'y trouvais, armée pour reprendre ta routine. Je vous remercie, Isaac, sincèrement. Vous êtes toujours aux petits soins, pour moi. Disais-tu calmement. C'est appréciable que vous demeuriez parmi nous, malgré toutes ces années. Vous m'êtes très précieux pour notre Institut, soyez-en certain Edwards. Ajoutais-tu d'un ton doux, levant enfin tes yeux vers les siens, sous entendant également sa discrétion et son efficacité par ces termes.
La jeune femme sirota son thé dans le plus grand silence, cependant au fil des années Isaac avait réussi a percé le secret qu’était les yeux de la directrice. Ses rapides et furtif sourire ne firent que confirmé d'avantage ce qu'il savait déjà. Apres quelques observations le majordome sortit son carnet de note habituel. Bien évidement il n'y notait pas que les appréciations du thé mais toutes sortes de chose, celles ci ne concernaient pas forcément la jeune femme même si elle possédait une bonne partie de l'ouvrage il s'y trouvait bon nombre de chose. Par exemple les plantes qu'il avait testé dans l'institut afin d'offrir un environnement des plus agréables, associé a celle ci se trouvait leurs préférences climatique les fréquences d'arrosage et toutes une liste de caractéristique. En soit ce petit carnet était une sorte de second cerveau pour le majordome et un potentielle guide pour son successeur.
Quelques instants plus tard après qu'il ai terminé d’inscrire ses observations et méthodes sur son fidèle carnet Helen reprit place pour reprendre le travail qu'il avait interrompu. Isaac sortit sa montre a gousset de sa poche pour y regarder l'heure et la rangea aussi rapidement.
Sachant que la directrice avait terminé son thé il se déplaça tel une ombre pour venir a ses cotés et ranger ce qui avait servit. Cependant elle n'avait pas touché aux petit biscuit qu'il avait apporté, le majordome déposa la coupelle qui les contenaient sur le large bureau et se saisit du plateau ou etait poser la tasse.
Je ne vais pas vous déranger plus longtemps mademoiselle vous avez du travail.
Même s'il n’était plus officiellement domestique par réflexe qui n'avait jamais trouver correction il inclina la tête afin de la saluer.
Au besoin faites moi signe je trouverai forcement du temps a vous consacrer.
Sa dernière phrase était accompagné d'un inhabituel sourire sympathique qu'il n'arborait qu'en privé avec certaines personnes. Sur celui ci il quitta le bureau plateau a la main la laissant a ses occupations.
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Une petite tasse de thé ? Isaac Edwards/Helen Jones
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